L’état d’urgence sanitaire impose des restrictions à l’usage de l’espace public. La programmation de Territoire s’en trouve ainsi affecté avec le report de la quasi-totalité des performances prévues. Néanmoins, ces contraintes, en imposant une limitation aux conventions régulant l’espace public, renforcent les interrogations portées par les artistes dans le cadre de Territoire. Ce sont ces
Tagperformance
Territoire #4
Territoire, c’est un programme de performances dans l’espace public qui a lieu à Nancy durant l’été.
Territoire #3 : Anna Byskov
Anna Byskov se constitue au fil des ans une bibliothèque en perpétuelle évolution de formes et de gestes qu’elle utilise ensuite jusqu’à contentement, voir jusqu’à épuisement. En expérimentant à chaque fois de nouvelles combinaisons, elle cherche à atteindre ce point d’équilibre où le langage créé par ces différents agencements traduira alors parfaitement sa pensée.
Territoire #3 : Aela Royer
Aela Royer développe une pratique sonore de la performance qui s’inscrit dans une recherche sur le corps comme instrument.
The rhythm of the night
À travers une sélection de vidéos, des performances et de la musique, The rhythm of the night explore le temps d’une soirée les rites de la nuit et l’art de la fête.
Ola Ignasiak | Ungrey the City
Le travail d’Ola Ignasiak est une réflexion sur l’environnement urbain ou plutôt sur les « défauts » de cet environnement. Il part du constat de l’état de déchéance de certaines parties de villes, abandonnées, sans activités où une certaine forme de pauvreté, architectural, culturelle et sociale se développe.
Valentin Puyau | The Watcher – Celui qui observe
Les performances de Valentin Puyau allient un ralentissement du temps et de l’espace, lui permettant de proposer un temps autre à l’heure d’une société placée sous le signe d’une fluidité hyperconnectée et en constante accélération.
Laurent Lacotte : Restitution
Lorsque l’on évoque le travail de Laurent Lacotte, c’est très souvent pour le définir par le biais de l’installation in situ.Pourtant, ce n’est pas tant cette notion qui devrait le spécifier mais bien mieux la capacité de l’artiste à s’emparer d’un inattendu pour le sublimer à travers une action, un presque rien qui lui permet d’en faire émerger les qualités poétiques.